Le Maroc n'est pas un pays sûr vis-à-vis de la Covid, ce qui rend les voyages avec les principaux pays européens difficiles, et la circulation à l'intérieur du pays limitée.
Le coronavirus au Maroc, une gestion exemplaire ?
Le Maroc a réagi extrêmement rapidement à la crise du coronavirus.
A peine les premiers cas enregistrés, il a commencé à fermé ses frontières aériennes, mis en place un confinement très strict (en tout cas à la mode marocaine), pris des mesures économiques d’aides aux plus démunis, développé la fabrication locale de masques et de gels hydroalcooliques, ouvert des lits dans les hôpitaux. Enfin il a mis en place le « protocole Raoult » (hydroxichloroquine et azt) pour les cas précoces.
Si certaines choses ont mis du temps à se mettre en place, fautes de moyens (notamment les tests, qui commencent enfin à se généraliser alors que la fin du confinement s’approche), globalement, le pays « a fait le job » et a été loué pour sa gestion de la crise dans le monde entier.
Reste un dernier défi, de taille et essentiel : protéger l’économie. Si le Maroc y arrive, alors sa gestion de la crise aura effectivement été exemplaire, et il pourra donner des leçons au monde.
Un déconfinement difficile et risqué
Depuis le déconfinement, comme partout dans le monde, je crois, les Marocains ont arrêté de faire preuve de responsabilité. Le masque n’est presque plus porté, alors qu’il est toujours obligatoire, et les gens se rassemblent… de façon très proche !
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Avec l'aggravation de la pandémie, le Maroc a déjà pris de nombreuses mesures restrictives, mais la question du confinement global se pose, à l'imitation de la France et d'autres pays européens, ainsi que de la fermeture des frontières.
L'augmentation des cas de coronavirus pousse à des mesures sévères à Casablanca, alors que le reste du Maroc s'ouvre (un peu) aux touristes et aux voyageurs professionnels. C'est difficile à comprendre.
L'augmentation très importante des contaminations au coronavirus a fait passer le taux de réplication au-dessus des normes admises par l'Union Européenne. Depuis le 7 Août le Maroc n'est plus dans la liste des pays sûrs.
Il suffit d'une contamination extérieure pour rendre une famille malade. Le foyer n'est un lieu sûr que si l'extérieur l'est aussi. Eid Moubarak Saïd, bonne santé à tous et portez le masque !
Manque de respect des mesures de distanciation sociale, montée des tests et du nombre de cas, découverte de clusters massifs, le gouvernement a finalement décidé de fermer les routes pour l'Aïd.
Le Coronavirus a doté le Maroc d'une nouvelle rengaine, celle du "strict respect" qui n'existe que dans la tête de celui qui l'écrit. A force de répéter cette incantation, va-t-on finir par porter des masques comme il faut ?
Alors que le Maroc a bien maîtrisé la pandémie de coronavirus et réussi à limiter le nombre de morts, il reste encore à passer la période extrêmement risquée de l'Aïd, avec tous ses déplacements et ses rencontres.
Comment tourister en temps de coronavirus ? L'épidémie détruit un secteur touristique entièrement tourné vers l'extérieur, qui n'a jamais su développer son tourisme de l'intérieur et se retrouve donc quasiment vide.
L'épidémie de Covid va sans doute changer profondément la "vie normale" que nous connaîtrons à nouveau, quand elle sera finie.
Oui, la gestion de la crise est bien faite au Maroc. Et oui, il y a des dégâts. Mais ce n'est pas parce que nos impatiences s'exacerbent que le Maroc a tort de ne pas ouvrir ses frontières, ou de communiquer "just in time"
L'épidémie est relativement maîtrisée mais pas arrêtée au Maroc. Le confinement de Safi prouve que les risques sont toujours là, et le Maroc ne rouvre que très étroitement ses liaisons internationales, à ses nationaux et résidents.
Le premier gros cluster en France a été un rassemblement religieux de 1.000 personnes. On comprend que le Maroc soit inquiet
Bloqués au Maroc par le coronavirus, beaucoup de Français enfin rapatriés protestent lourdement sur les coûts, sans comprendre l'impact de la pandémie sur les coûts du trafic aérien.
Le port du masque est un élément essentiel pour limiter la mortalité de la Covid. Alors pourquoi les Marocains refusent-ils de le porter - alors que le voile féminin ne pose aucun problème !
Alors qu'une étude identifie le port du masque comme un élément essentiel de lutte contre la mortalité, les Marocains innovent et le portent sous le nez. C'est parce qu'ils ont développé des branchies pour respirer autrement ?