La Cour Européenne a tranché contre l'étiquetage "origine Maroc", contre l'interdiction d'importation en France et pour le maintien de l'accord jusqu'au 4 octobre 2025
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Le prix du mouton flambe, beaucoup plus vite que l'inflation, malgré les bêtes importées pour "alléger les tensions". Parce que les Marocains ne veulent pas des moutons étrangers, mais des Sardis à belles cornes !
Une reprise d'activité timide et un faible engagement de l'état dans des programmes d'investissements pourtant nécessaires, pour un bilan 2022 en demi-teinte.
Le Maroc supprime l'exonération de droits de douane pour les petits colis de moins de 1.200 dirhams, à partir du premier juillet 2022. Quelle que soit sa valeur, un colis devra acquitter droits de douane et TVA.
Le Maroc vient de découvrir la puissance du web, après quelques mois de confinement. Mais comme le montrent de nombreux exemples, il ne suffit pas de faire un site web pour tirer profit du numérique.
Communiquer sur le Maroc en tant que destination touristique attractive est inutile en ce moment, tant que les questions des touristes se portent plus sur la sécurité sanitaire et la certitude de ne pas être bloqués aux frontières.
L'industrie touristique peut-elle changer suffisamment pour s'adapter aux contraintes d'une pandémie et proposer une "expérience maroc" à la fois sécurisée et agréable ?
Parier sur le tourisme pour booster l'économie du Maroc, c'est parier sur une industrie fragile. Les facteurs de risque internes sont nombreux.
Investir dans le tourisme, c'est investir dans un secteur à haut risques au Maroc, car soumis à trois grandes menaces externes contre lesquelles il ne peut rien.
Le développement des énergies propres et renouvelables est un axe stratégique pour le Maroc, l'Allemagne participe à travers la KfW
L'arrivée des banques islamiques ne sera pas une panacée pour les TPME marocaines écrasées par des problèmes de financements. L'éthique doit faire bon ménage avec la gestion.
On sait quels sont les engagements du Maroc vis-à-vis du FMI pour obtenir sa ligne de crédit. Moins pire qu'ailleurs, mais durs et difficiles pour la paix sociale
Quand le monde souffre, le Maroc aussi. Baisse de revenus et de rentrées en devises, comment maintenir le navire à flot sans mettre les Marocains dans la rue ? Le FMI accorde une garantie.
Le monde des télécoms marocaines est dans la tourmente, la France veut rapatrier ses call-centers et Vivendi cherche à brader Maroc Télécom.
Le malheur des uns - les troubles dans les pays du Maghreb - fait le bonheur des autres - le Maroc qui peut se développer comme destination touristique.