Le développement touristique du Maroc sera-t-il entravé par des problèmes d'infrastructures, comme cette cohue à Marrakech ?
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Le tourisme est-il encore un secteur privilégié pour l'état marocain ? Les chiffres provisoires de 2022 sont plombés par le manque d'investissements.
Le touriste étranger et le touriste Marocain n'ont pas les mêmes attentes. Ils ne sont donc pas interchangeables pour soutenir un secteur dramatiquement en crise, qui ne peut offrir au touriste Marocain ce qu'il attend au prix qu'il souhaite.
Le Maroc sacrifie la saison touristique de l'été (déjà morte, en fait) à la lutte contre l'épidémie, l'Espagne refuse le passage des Marocains sur son territoire en n'ouvrant pas les liaisons par bateau (en accord avec le Maroc ?)
La saison de l'été 2020 est une catastrophe. Le peu de revenus qu'on peut réaliser avec les MRE revenant pour l'Aïd justifie-t-il les risques de reprise de l'épidémie ? Dilemme pour le tourisme marocain.
Le tourisme marocain va repartir, repartir, repartir, la preuve, les américains placent le Maroc en top des destinations "sûres" après la covid. Est-ce si certain ?
Adapter les pratiques touristiques pour faire revenir les touristes, au delà du coût beaucoup plus élevé des prestations, c'est difficile, tant l'expérience marocaine est basée sur une convivialité de proximité.
Avant le coronavirus, le Maroc voulait faire du tourisme la première industrie du pays. Pour qu'elle soit solide, il faut mettre en place des actions pour corriger les faiblesses de l'offre.
Le tourisme est une industrie fragile au Maroc. La crise liée au coronavirus frappe très fort car elle active les menaces structurelles pesant sur ce secteur.
L'effet des printemps arabes sur le tourisme a été dévastateur, le Maroc est le seul des pays du Maghreb à s'en sortir correctement. Une opportunité à saisir ?
Pour essayer de remonter la pente face aux sites d'avis en ligne, le Guide du Routard ouvre son site aux avis des utilisateurs. Un mélange des genres qui pose problème pour une société censée évaluer les établissements via ses propres inspecteurs.
La relation entre un touriste et un guide, chauffeur etc. est inégale, celle d'un client et d'un fournisseur. L'amitié est possible, mais rare.
Le Maroc a l'image d'une destination touristique relativement chère, sans être luxueuse. C'est qu'il hésite entre plusieurs cibles et modèles de développement touristique, sans savoir choisir celui qui lui conviendrait le mieux.