Voilà à quoi ressemble un jardin de rose, en dehors de la saison : les parcelles sont utilisées pour les autres cultures (ici le blé, encore vert, parsemé de coquelicots), et les rosiers sont cultivés aux extrémités des parcelles, le long des murs et en haies.
Cette utilisation de toutes les parcelles disponibles est typique du sud, où la terre irriguée est rare, entre le manque d’eau dans les périodes de sécheresse, et les parois abruptes des vallées.
Les jardins sont une merveille de verdure et de fraîcheur.
Quand on descend un peu plus bas, vers la « plaine » et Kelaat M’Gouna, les champs de rose prennent plus de place et s’ordonnent. Mais comme à Boutaghar, on ne gâche pas une surface cultivable aussi pour autre chose.
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